Mes courges atteintes de maladies fongiques!
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5 août 2017 à 8h52 Répondre
Bonjour à tous,
Nouvelle sur le forum, nouvelle dans le milieu, c’est ma première année “seule”, malgré une maigre expérience avec mes ancêtres.
Alors voila, je me suis lancée cette année avec 24 m² de potager borduré : courges, haricots, maïs, carottes, choux, tomates, etc
Je suis de Belgique.ette année, nous avons eu un printemps très sec, j’ai donc arrosé et tout s’est bien développé. En prime, je répand régulièrement du marc de café contre les limaces et comme engrais.
Depuis 1 mois, la météo belge a repris le dessus avec des pluies régulières. Évidement, les champignons en ont tout de suite profité et donc depuis trois semaines mes deux plants de courgettes (jaunes et vertes rondes) sont atteint d’oïdium.
Depuis, je coupe régulièrement les feuilles les plus atteintes et je traite au lait (dilué 1/10).
Malheureusement, mon plant de butternut qui se trouve juste à coté est atteint de pourriture grise.
Allez comprendre comment je me chope deux maladies fongiques différentes sur les plantes qui se touchent pourtant.
Je vais donc commencer à traiter la butternut à la bouillie bordelaise.
Vu que les plantes se touchent, les deux traitements risquent d’entrer en contact sur l’une des plantes.
Est-ce dangereux ?
Dois-je récolter ma seule butternut (qui est éééééénnnnnoooorrrrrmmmmeeeeee) en prévision pour être sûre qu’elle ne pourrisse pas?
Va-t-elle pouvoir mûrir hors pied?
Autre problème, à côté de tout ça, j’ai un plant de potiron rouge d’Estampes sur lequel il y a deux beaux potirons qui sont déjà énormes et orangés. La plantes a l’air saine, pour le moment.
Pensez vous que je doive aussi les cueillir pour être sûre qu’ils ne développent pas l’une des deux maladies fongiques qui sont à côté?
J’ai déjà lu qu’un excès d’azote apporté par le marc de café favorise le développement des champignons et donc j’en mettrais moins l’année prochaine mais pour cette année, c’est trop tard
Merci à tous pour vos conseils !
5 août 2017 à 9h19 RépondreA votre place je traiterais à la bouillie bordelaise toutes vos cucurbitacées, quelque soit le champignon qui s’y développe. Non je ne cueillerais pas potiron, doux beurre, courge ou autres actuellement, laissez les mûrir. Je traiterais peut-être aussi en prévention les feuilles de tomates. Les tomates sont souvent sensibles à l’humidité.
J’aimerais bien prendre un peu de votre pluie. Chez moi ça fait 2 mois qu’il n’a pas plu.5 août 2017 à 9h36 RépondreJ’ai lu que la bouillie bordelaise n’est pas efficace contre l’oïdium. Donc… Que faire?
Les tomates sont protégées avec une mini serre en plastic donc contre l’humidité ça devrait aller mais j’y pensais aussi, s’il me reste un fond dans le pulvérisateur, le vider dessus, ça peut pas faire de mal. (Y des aubergines et du basilic aussi dans la serre)
5 août 2017 à 14h45 RépondreBonjour bidaw
DICTONS DU MOIS DE MARS _______________________________________________________________
Le beau temps en mars se paye en Avril.
Autant de gelées en Mars autant de rosées en Avril.
En Mars quand le merle a sifflé , l’hiver s’en est allé .
En Mars manteau de neige dans les prés , manteau de foin prochain été .
Des fleurs que Mars verra , peu de fruits on mangera .♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣
8 août 2017 à 11h27 RépondrePour l’oïdium on peut traiter au soufre. Ce n’est pas de la fleur de soufre, c’est une poudre plus foncée, ça se vend en jardinerie et ça se dissous dans l’eau.
8 août 2017 à 17h36 RépondreBonjour,
Effectivement, il est bien trop tôt pour ramasser les cucubirtacées. Perso, je les rentre avant les premières gelées.
Pour le souffre, il faut bien prendre du soufre mouillable si c’est pour mettre dans de l’eau et le pulvériser.
Il existe aussi du souffre à poudrer mais sauf à avoir une poudreuse c’est plus compliqué à appliquer.
Contrairement à certaines idées reçues, l’oïdium n’aime pas particulièrement la pluie (cela le lessive) mais des taux d’hydrométrie élevée. Il se développe donc également très bien sous serre.A ma connaissance, il n’y a pas de risque de mélanger une bouillie bordelaise avec du souffre mouillable en respectant les doses homloguées.
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