Bonjour et bienvenue,
— Allez savoir. Je constate que chez moi, dans ma terre lourde, même amendée, les CLEMATITES (dans mon cas ce sont des clématites d’été) sont longues à s’installer.
— J’en avais une, qui a fleuri quelque temps après la plantation, mais que j’ai changée de place par la suite.
Elle n’a pas apprécié cette transplantation, donc durant plusieurs années, elle me faisait une malheureuse tige, chétive, et aucune fleur.
— D’année en année, pourtant cette tige devenait un peu plus conséquente.
Quelle ne fut donc ma surprise qu’au bout de 5-6 années d’absence de végétation normale et de fleurs, elle se mit enfin à se développer et à donner cette année-ci 5-6 grandes fleurs . (Il me semble que c’est une Président, j’ai oublié de garder l’étiquette, comme je fais d’hab.
Il est vrai que ces 3 dernières années, je lui mis une dose de COMPOST maison. et que j’ai ameubli fréquemment la terre autour du plant, tout en installant autour de lui quelques plantes, puisque les clématites aiment l’ombre à leur pied et la tête au soleil. Je l’ai aussi régulièrement arrosée, dès que la terre était sèche.
— Mais un grand amateur m’a expliqué qu’il fallait les arroser à env. 50 cm du pied, les racines préférant chercher l’eau à distance et un excès d’eau les faisant mourir. ça m’est arrivé l’an dernier avec une CLEMATITE Etoile de Malicorne, nouvellement acquise que j’ai arrosée trop fréquemment.
Je crains qu’elle ne va pas reprendre, car depuis aucune nouvelle pousse. A voir.
Bonne chance alors pour la vôtre, et bonne journée,
Doris.
Bonjour,
J’avoue que je suis perplexe.
J’ai 4 pieds de PIVOINE herbacée : ils reviennent fidèlement chaque année avec des fleurs opulentes, et il me semble que je n’ai (à part peut-être les 1res années) donné AUCUN ENGRAIS. Mais il faut savoir que la terre de mes jardins est assez riche.
D’autre part, je les arrose assez rarement. Chez moi 3 sont exposées à l’est, la 4e au sud-ouest, (comme chez vous), avec des arbustes aux alentours (mais endroits assez dégagés). Les 4 sont paillées (2 avec de l’écorce, une avec de la pouzzolane, une avec de l’ardoise concassée), donc la terre à leur pied reste fraîche).
UNE SUGGESTION : si vous n’avez donné aucun autre ENGRAIS, essayez voir de lui donner (à la période marquée sur le paquet) une dose d’OR BRUN, un engrais, qui fait souvent de l’effet.
Ou alors du bon COMPOST, juste un peu enterré en surface, si vous en avez et dénué bien sûr des larves de hanneton (à ne pas confondre avec les larves de CETOINE, très ressemblantes) qui elles font du bien au compost, les larves de HANNETON (voir la différence d’aspect sur internet)
mangeant les racines.
Quand et si vous donnez de l’OR BRUN, ARROSEZ bien et de suite, pour ne pas brûler la plante.
Bonne chance et bonne journée,
Doris
A Caramel34,
Le LAURIER ROSE en Alsace c’est clair, il n’y en a de loin pas autant que dans le Sud de la France.
Mais devant les cours des fermes alsaciennes, on en voit assez souvent, en bac ou gros pot, mais chez nous, il faut alors les hiverner en véranda ou en sous-sol très bien éclairé par ex.
Donc ça limite l’envie d’en cultiver, puisque tout le monde ne dispose pas d’un tel abri indispensable, sinon le LAURIER ROSE au moindre souci, trépasse dès le premier hiver.
Le mien est mort ainsi et c’est arrivé à l’un de mes voisins, après une dizaine d’années de culture (peut-être l’a-t-il trop arrosé au sous-sol, durant la saison froide) ?
Compliment à Caramel34 : votre LAURIER ROSE est très beau.
A Pascalou : MERCI. C’est très sympa de ta part.
Doris.
Salut Pascalou,
Tu donnes ton avis, d’autres également et je donne le mien. C’est OK. Mais de ma part, sans ironie, ni critique facile de l’avis des autres… Alors que je le pourrais au moins autant, tu t’en doutes bien…
Bon week-end aussi.
Doris.
Batouran,
Peut-être qu’une maman ou mamie de notre génération (ou de la nouvelle) a davantage conscience de la sécurité concernant les jeunes enfants que la plupart des hommes des précédentes générations. Car nous les portons durant des mois, assurons leur bien-être journellement et les soignons en cas de pépin, plus fréquemment.
Quoique, dans l’ensemble, la nouvelle jeune génération masculine en veut et a de saines réactions. Et c’est tant mieux. Bravo !
Mes grand-parents maternels, nés au début du siècle, dernier, parents de famille nombreuse, étaient d’un naturel prévoyant. Avec succès : aucun accident domestique sérieux à signaler… ni avec leurs enfants, ni avec leurs nombreux petits-enfants. Une vraie performance.
Je suis d’accord : il faut vivre (je vis) tout en faisant attention, bien qu’on ne puisse tout éviter.
Les posts de quelques membres seraient à relire SVP. Fautes de frappe parfois aussi nombreuses que le pissenlit dans la nature. 😆
D.
Bonsoir,
Concernant le LISERON, curieusement, on est chanceux :
— Nous avions sur notre terrain, PLEIN DE LISERONS, mais ayant construit un garage, le terrain en était chamboulé, terre moyennement lourde, mais COMPACTEE par les engins de chantier.
Et curieusement, lorsque le terrain fut aménagé, dans la foulée et le gazon semé, le LISERON avait quasiment disparu…
— Je ne pense pas que le gars qui jardine en notre absence a mis du désherbant sélectif dans le GAZON, car les autres indésirables : plantain, pâquerette, potentille rampante etc. sont toujours là… assez nombreux, sans être envahissants dans cette pelouse-là.
— Par contre, le LISERON apparaît régulièrement dans les HAIES du même jardin, ainsi que le LIERRE PLUS ENVAHISSANT (en haut de la haie et à sa base surtout pour le LIERRE qui revient vite). C’est beau du LIERRE, mais il faut le contenir…
— Je les ARRACHE, quand je suis présente, mais on ne peut pas dire que le LISERON nous envahit encore. Je précise que nous n’avons jamais traité, (ARRACHAGE manuel simplement, encore récemment au pied d’un vieux lilas surtout et d’un forsythia).
— Dans mon autre jardin, idem, de temps en temps un pied de liseron, dans cette terre très lourde, LISERON que j’arrache aussi vite qu’il est apparu, et les réapparitions sont assez rares. Peut-être une dizaine de PLANTS DE LISERON par AN seulement… Et ce au pied des rosiers et des hortensias.
Bonne soirée,
Doris.
A Pascalou,
Eh bien le « compatriote » !
Plus concis que ça tu meurs… 😆
Doris.
A Caramel et tous,
Traverser la rue pour suivre POKEMON GO, c’est sûr que c’est d’un niveau de dangerosité bien plus élevé… A se demander quel inventeur mal inspiré a eu cette idée pas géniale du tout…
Là je suis bien d’accord avec Caramel.
Comme certains routiers, qu’on a déjà vu (heureusement qu’ils sont plutôt rares !) VISIONNER UN FILM ! pendant qu’ils conduisent sur l’autoroute… Du grand n’importe quoi…
Doris.
Bonsoir et bienvenue Goueri,
Franchement je déconseille fortement.
Je connais depuis toujours, des enfants (certains de 2-3 ans, une autre faisait cela à l’âge de 4-5 ans encore), même dans les années 50-60, au grand dam de sa mère pourtant pas laxiste, enfants disais-je, qui portent à leur bouche, tout ou presque tout ce qui peut se trouver dans un jardin ou une véranda etc. :
vers de terre, poignée de terre, feuille de plante (il vaut mieux dans ce cas que ce ne soit pas une feuille de laurier rose, ni une graine de cytise (laburnum), mortelle par ingestion aussi.)
Je précise que l’enfant qui portait tout à sa bouche, c’était la fille d’une voisine dans les années fin 50-60.
Je risque de me faire incendier, ayant une opinion différente, mais mon opinion est tout aussi respectable. Et je compte cette fois-ci sur la tolérance des membres qui pensent différemment…
J’ai survécu aussi, (j’avais encore récemment des lauriers roses, mais je ne suis pas une enfant). J’avais autrefois un laurier rose, de couleur saumon, (certains sont aussi blancs etc.) qui n’a pas survécu au sous-sol, en hiver, quand mon fils était petit, mais lui ne s’intéressait guère aux plantes et étant de nature prudente, je surveillais beaucoup. Mais il suffit d’une fois…
En présence de petits-enfants, je ne ferais plus le choix d’en avoir. Mon voisin a enlevé leur laburnum, (voir ci-dessus), quand ils ont eu des petits-enfants… Par précaution. Il y a déjà assez de dangers par ailleurs qui guettent les jeunes enfants, a-t-il argumenté…
Bonne soirée,
Doris.
MERCI à Govam et rrrr pour ces retours.
Bonne journée,
Doris
Bonsoir,
Le DIPLADENIA ne supporte pas les excès d’eau, surtout en saison fraîche. J’en ai fait mourir un pour cette raison.
Alors que le chlorophytum (à vérifier sur le net) à mon avis est davantage demandeur d’eau.
La misère à mon sens (j’en avais autrefois) ne doit pas réclamer beaucoup d’eau (à vérifier).
Question lumière, je pense que DIPLADENIA et CHLOROPHYTUM sont demandeurs ; la misère peut-être exige moins de lumière (à vérifier aussi sur le net).
Donc il s’agit juste d’éviter de beaucoup arroser, sinon le DIPLADENIA risque de mourir rapidement de sa belle mort. Les autres plantes devront se contenter d’un peu moins d’eau que d’habitude et ça devrait bien se passer. Si vous ne les laissez pas trop au sec non plus. Et pensez à exposer à une lumière suffisante. L’OXALIS devrait supporter la lumière, nécessaire aux deux premières.
Pensez à bien drainer le pot, indispensable pour le DIPLADENIA (cailloux au fond) et bon trou d’écoulement et pas d’eau qui stagne dans la soucoupe !
Bonne soirée, Doris.
Bonjour Govam,
Moi aussi j’ai à chaque saison, des otiorhynques sur mes deux lilas plantés dans deux jardins différents.
Et j’ai encore d’autres arbustes, qui en sont affectés.
Il me semble qu’il s’agit de rosiers et d’arbustes de haie… dans le jardin où je ne séjourne pas actuellement.
Je n’ai jamais traité, mais ce n’est pas terrible sur le plan esthétique et à la longue je crois avoir lu que ça peut affaiblir les arbustes.
Donc, si je trouvais sur le net ou dans une revue de jardinage ou par l’entremise (de FLORIS ou d’un autre membre du forum) une recette, une méthode si possible non agressive, (écolo serait l’idéal), sensée en venir à bout, je serais preneuse…
Comme autre choix d’ARBUSTES A FLEURS, (pour toutes régions), pour remplir un trou d’env. 2 m, il y aurait aussi le WEIGELIA : ça existe en version fleurs de teinte pourpre, feuillage vert ; et en version feuillage panaché et fleurs « rose bonbon », très sympa.
C’est un arbuste facile à vivre, qui fleurit aussi en mai-juin (en Alsace). Mais caduc (dont les feuilles tombent en automne).
Bonne chance pour venir à bout de cette mauvaise odeur récalcitrante.
Bonne journée, Doris.
Bonjour et bienvenue,
Dans quelle région jardinez-vous ?
C’est sûr, qu’arracher un arbuste de grande taille, n’est jamais une partie de plaisir.
Prenez votre temps : Coupez peut-être les branches au coupe-branches (je dis perroquet); pour vous retrouver au final avec la souche et de courts moignons de branches.
Puis attaquez-vous au reste à la pioche (par temps pas trop chaud, car éreintant), puis à la fourche-bêche, et vous finirez par y arriver. j’en sais quelque chose, mon mari l’a déjà fait plusieurs fois…
Puis via la déchetterie (ou si vous avez cheminée ou barbecue faites sécher le bois et les branches sans feuilles, pour un futur feu éventuellement)…
Mais après, vous serez contents d’avoir éliminé ce souci de mauvaise odeur.
Pour le nouveau choix d’arbuste, pourquoi pas (s’il ne fait pas trop froid par chez vous) un ORANGER du MEXIQUE, un arbuste persistant assez facile à vivre, avec des fleurs blanches parfumées, fleurissant en mai, puis parfois à nouveau en septembre.
Bon courage, D.
Bonsoir Laurie,
Où jardinez-vous ?
Perso, je pense que même en l’absence d’eau sur votre terrain, vous pouvez installer un peuplier blanc. ATTENTION tout de même à la distance avec la maison ou toute construction !
Les racines d’un tel arbre vont très loin. Renseignez-vous sur le net par exemple, sur Jardiner Malin et tout site de jardinage sérieux.
Il me semble que la distance doit être d’au moins 20 mètres, (A VERIFIER !)
Chez nous en Alsace, un PEUPLIER s’est semé spontanément sur le terrain et nous n’avons aucun cours d’eau sur le terrain. Mais une terre argilo-calcaire, qui retient bien l’eau.
Bonne soirée, Doris.
Bonsoir,
— Nous avons déjà déplacé des plantes de cet âge. Avec succès. Mais comme dit, il faut prendre un maximum de précautions et faire un suivi et ensuite il y a aussi le facteur chance.
Comme dit un membre : « La nature fait ce qu’elle veut ».
Qui ne tente rien n’a rien.
Comme dit, pour éviter tout risque, ne PAS déplacer.
— Mais si la mort de ces plantes n’était pas si grave que ça, et si là où elles sont elles gênent, pourquoi ne pas tenter ce déplacement ?
— Nous avons pour notre part déjà déplacé un prunier reine Claude, (env. 3 m de haut), un figuier, installé depuis deux ans, un camélia après deux ans, un vieux pied de pivoine, des rosiers installés depuis plus de 5 ans, des arums… Le tout avec succès, (à une perte près), mais avec un luxe de précautions et un suivi méticuleux !
A Batouran : Quels sont les conseils qui ne vous semblaient pas judicieux ? Cela m’intéresse réellement, car comme dit mon expérience vaut pour l’Alsace et la Bretagne. Donc si un conseil vous fait douter, je suis prête à entendre toute remarque constructive et utile. Merci d’avance.
Dans quelle région jardinez-vous Nisette ?
Bonne soirée, Doris
Bonjour Nisette,
C’est sûr que c’est un risque de les déplacer.
Mais s’il le faut, je dirais qu’il faut que vous preniez la plante avec le maximum de sa motte,
que vous fassiez un grand trou au nouvel endroit de votre choix, que vous ameublissiez bien le fond de ce trou, que vous fassiez une plantation soignée, avec ajout de suffisamment de terreau, auparavant trempage de la motte, en essayant de ne pas la casser,
puis, après installation des plantes dans leurs trous, bien tasser, arroser copieusement (un arrosoir de 7 à 10 litres environ), faites une petite cuvette, ensuite PAILLER avec par exemple une bonne couche d’ECORCE ou mieux de BRF (bois raméal fragmenté) ou éventuellement une bonne épaisseur de TOURBE.
Et s’il y en avait, ENLEVER A LA MAIN, les éventuelles « mauvaises herbes ».
Et ensuite régulièrement surveiller l’ARROSAGE. Et en cas de terre sèche, arroser à nouveau. Ne surtout pas laisser dessécher ! Juste arroser à la plantation ne suffirait pas !
Puis, très important : s’il y avait des racines cassées, couper les parties cassées ou mortes, et EPOINTER ! de quelques centimètres les plantes à chacune de leurs branches, ce qui stimule la pousse et est INDISPENSABLE à la reprise.
BONNE CHANCE ! Avec des soins attentifs, vous devriez y arriver… Veuillez aussi à respecter leurs besoins en matière d’exposition : les SPIREES aiment je crois (à vérifier) le SOLEIL, idem pour les CARYOPTERIS (à vérifier aussi).
Mais la MI-OMBRE (et exposition ouest par exemple) peut faire l’affaire je crois et serait peut-être en ce cas de TRANSPLANTATION délicate en cette période de l’année même préférable… Sinon attendre la fin SEPTEMBRE, voire un peu plus tard serait sans doute mieux.
Bonne journée à tous,
Doris
Bonsoir Laurence et bienvenue,
Comment arrosez-vous ce laurier du Portugal ?
A quelle fréquence et quantité ?
Le pot est-il en plastique, en terre cuite, en bois ou autre matériau ? Merci de l’indiquer.
Avez-vous mis un drainage, le pot est-il muni d’un trou correct, pour l’écoulement de l’eau ?
Avec ou sans soucoupe ?
A quelle exposition (sol, ombre, mi-ombre) se trouve cet arbuste ?
Bonne soirée, Doris.
A Patric et tous,
Effectivement, inutile de s’encombrer avec trop de sortes d’engrais ; deux-trois engrais différents font l’affaire. 😎
Concernant l’engrais liquide, il est sans doute plus rapide en efficacité, mais pour les potées au cimetière par ex. il n’y rien de plus pratique que les bâtonnets.
Même à la maison, avec les bâtonnets, pas besoin d’y penser à chaque arrosage suivant le produit, ou une fois par semaine au moins.
Les bâtonnets, c’est beaucoup moins contraignant.
Je note juste sur le paquet, le moment où je les ai distribués, les plantes auxquelles je les ai donnés. Et encore, la plupart du temps, je me débrouille pour faire distribution générale en même temps. (Donc juste la date d’administration à noter).
Je peux m’absenter durant des semaines, voire des mois et je sais que les plantes ont reçu la dose d’engrais qu’il leur faut. (C’est notre cas). 😎
Dommage que ce ne soit pas un ENGRAIS ORGANIQUE, comme ceux que j’emplois au JARDIN.
Doris
Bonjour,
Je vous conseille de lui donner, avant ou après arrosage, des bâtonnets pour plantes à fleurs (les ROUGES !); pas les verts qui conviennent aux plantes vertes sans fleurs. On trouve ces bâtonnets sans souci au rayon jardinage des supermarchés ou en jardinerie etc.
Perso je donne ces bâtonnets (la quantité dépend de la taille du pot et est indiqué sur l’emballage) et vous êtes alors tranquille concernant l’ENGRAIS pour 2 ou 3 mois, selon indications sur le produit.
J’ai toujours procédé ainsi et les DIPLADENIAS, dehors (par ex. sur une tombe au cimetière) ou en véranda fleurissent bien après cette administration d’engrais, renouvelé tous les deux-trois mois env. durant la belle saison (de mars à septembre env.)
N’oubliez pas qu’il faut que la terre soit humide pour ne pas brûler les racines ! Lorsque la terre du pot est sèche, mettez les bâtonnets et arrosez de suite vos dipladénias. Sans excès, car vous savez comme moi qu’ils pourrissent, lorsque l’apport d’eau est donné sur une terre déjà assez humide.
Bonne floraison,
Bonne journée à tous, Doris
Bonsoir,
— C’est vrai, j’ai déjà eu des lavandes papillon (stoechas) qui sont mortes en Alsace, par un hiver particulièrement froid comme en 2010-2011, après qu’un paysagiste de passage m’ait conseillé de les tailler (en fin d’automne) et qu’il ait joint le geste à la parole. ça ne leur a pas réussi, cette taille en période fraîche…
— Curieusement, les deux qui me restent résistent. Je veille bien à les garder bien au sec, ainsi elles résistent mieux au froid. Et je leur mets avant l’hiver une « bosse » de tourbe ou de frondes de fougères ou autres protections, pour leur garder les pieds un peu plus au chaud.
Bonne soirée, Doris
Bonsoir,
Je confirme la réponse de FLORIS, d’autant que les AGAPANTHES se ressèment et chez moi, les ayant laissé une saison, j’en ai eu partout. Trop… Donc boules défleuries à couper.
Bonne soirée, Doris
bonsoir,
Les LAVANDES PAPILLON (stoechas), contrairement aux autres lavandes,
ont besoin d’un sol un peu acide de préférence. (Donc donnez-leur de la TOURBE, ou au moins du sable et/ou du terreau, car elles n’aiment pas les sols argileux, contrairement aux lavandes courantes…)
Voilà, je tenais à vous le dire, car ne comprenant pas pourquoi mes lavandes papillon avaient un peu de chlorose (les points jaunes) j’ai par hasard trouvé les conditions de culture sur le net, qui mentionnaient leur besoin en sol un peu acide. Depuis que j’ai acidifié leur sol, elles sont en meilleur état, dans mon jardin alsacien et dans mon jardin breton.
A+ Bonne chance, Doris
Bonjour,
Une photo peut-être ? Si vous ne savez pas faire (comme moi), on vous aidera. 😎
SURTOUT PAS D’ENGRAIS à une plante en mauvais état ! sachant que la lavande en supporte à la plantation, mais pas quand elle végète et semble malade… Et par la suite elle préfère les sols pauvres…
SEULEMENT ARROSER quand la terre est sèche. Moi j’arrose mes toutes jeunes lavandes, quand il ne pleut pas, mais sur une courte période, jusqu’à reprise. Après comme vous le faisiez je n’arrose plus… Sauf si elles n’ont pas repris…
Vous le savez sans doute : UN EXCES D’EAU peut faire mourir (souvent) les lavandes.
A+ Doris
Bonjour,
Effectivement comme le dit Batouran, il faudrait connaître la région et les conditions de culture générales de vos Arum (ou Calla).
Perso nous en avons en Bretagne, en terre plutôt calcaire (terre neutre ce serait mieux, avec de l’humus), et l’an dernier et les années précédentes, quoique nous les ayions déplacés il y a 4-5 ans, ils étaient en fleurs, (maison secondaire) au cours du printemps, début et milieu d’été je crois, d’après les renseignements fournis par les voisins…
Donc, curieusement, ce mois de juillet, nous les avons trouvés avec feuilles jaunies, couchées ! (les arums aiment beaucoup l’eau !) Ils ont un paillage d’ardoise sur feutre géotextile, mais le jardin n’est quasiment sauf exception, jamais arrosé, en notre absence, qui a duré de nombreux mois) et avec ZERO FLEURS ,
car le jardinier qui vient pour l’entretien, les a à notre demande débarrassés des inflorescences fanées qui produisent des graines rouges toxiques, puisque c’est un lieu de passage très fréquenté par de jeunes enfants…
Du coup aucune fleur, ni bouton de fleur à l’horizon… Mais chez nous elles poussent comme de la mauvaise herbe et je pense qu’elles vont faire une remontée de fleurs d’ici quelques semaines, voire mois.
Je ne donne quasiment jamais d’engrais, mais là en août on va leur donner de la CORNE BROYEE et voir si elles font moins de feuilles jaunes, qui peuvent aussi signaler une CARENCE…
Bonne chance avec vos arums, Doris
Bonjour et bienvenue,
J’ai depuis longtemps un buddleia (ou arbre à papillons). Les fleurs ouvertes ne tiennent que quelques jours, puis brunissent. C’est donc normal. Mais les fleurs non encore ouvertes ne doivent pas brunir, ce serait anormal.
Vu son jeune âge et s’il fait chaud, les feuilles ont pu sécher par manque d’eau ou terre mal préparée. Une jeune plante ne peut pousser en sol trop sec, au moins la 1re année. Avez-vous amendé la terre avec du terreau lors de la plantation ? Qui a entre autres le mérite d’assouplir une terre qui serait trop lourde pour une jeune plante.
Un paillage (écorce, BRF, pouzzolane etc.) évite à la terre de sécher trop vite et de rester souple et permet d’espacer les arrosages. A mettre en place sur une terre griffée (binée) et bien arrosée. Puis attendre que la terre ne soit plus humide avant un nouvel arrosage.
Je vous conseille de couper les fleurs fanées et les bouts de branches desséchés et de pailler et d’arroser quand c’est nécessaire, comme indiqué plus haut. Et d’attendre : une semaine c’est très peu pour une reprise. Et bien sûr ne plus donner d’engrais, à déconseiller pour une bouture ou une jeune plante en souffrance.
Bonne chance, Doris
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