[oberline]

Bonjour,

A votre place je comparerais les fils des différents grillages et je ne prendrais ni le plus fin, ni le moins rigide. Car un grillage non suffisamment rigide, peut vite avoir des bosses et ce n’est pas esthétique. Je n’y connais rien en épaisseur minimale, mais je me méfierais du très fin.

En arbuste très facile à vivre qui peut convenir il y a la potentille arbustive, le chèvrefeuille nitida (arbuste bas jusqu’à 1 m de haut, sans fleurs), l’escallonia, le troène etc, le mahonia, l’oranger du Mexique (tous assez bas pour préserver la vue).

Bonne fin de week-end.
Doris

[oberline]

Bonjour,

Vous ne pouvez pas faire grand chose à part tailler les parties de branches mortes. Ne rien tailler en période de gel !

En coupant partir du haut jusqu’à atteindre des sections de branches encore vertes, qui peuvent redonner des feuilles.

Si le sol est vraiment sec, arroser, pailler après pluie ou arrosage, pour que le sol conserve l’humidité… Et attendre. S’il reprend, le garder bien paillé pour cet été (couche pas trop épaisse, sinon la pluie ne traversera pas)

Bonne chance.

Doris

[oberline]

Bonjour,

Il s’agit d’un envahissement de cochenilles farineuses.

Recettes de traitement écolo à base de savon noir liquide sur internet. Plusieurs traitements peuvent s’avérer nécessaires.

Ne pas trop attendre et avant de faire le traitement, enlever les amas blanchâtres à l’aide d’un chiffon ou coton imbibé d’alcool ou de vinaigre blanc.

Nettoyer et traiter sur les deux côtés des feuilles et même sur les tiges.

Si vous rempotez, pensez surtout drainage, l’olivier détestant l’humidité stagnante qui peux le faire mourir. Drainer à l’aide de cailloux, gravier ou billes d’argile etc. Et n’arrosez que lorsque la terre du dessus est sèche et avec modération.

Regardez sur internet (fiche de jardiner Malin etc.) dans quelles conditions le mettre dehors, car en pot il est encore plus fragile qu’en pleine terre.

Bonne journée, Doris

[oberline]

Bonsoir,

Si votre camélia a de l’eau, mais sans excès non plus, que la terre est bien drainée, qu’il est à mi-ombre, il est peut-être normal que les fleurs tombent.

Du reste les fleurs du camélia sasanqua fleurissant à cette époque de l’année, à partir de novembre, ne durent jamais longtemps.

A+ Doris

[oberline]

Re

Lorsque vous coupez les branches apparemment mortes, coupez jusqu’à ce que vous atteignez du vert, s’il en reste. Donc allez-y du haut vers le bas, jusqu’à atteindre d’éventuels parties de branches encore vertes, que vous laissez bien sûr.
Dans les branches vertes, il y a de la vie.

Comme dit, si le pot n’est pas percé il ne survivra pas. C’est indispensable, malgré le drainage, car l’olivier n’aime pas rester les racines dans l’eau.

Il ne faut surtout pas couper les repousses. Si vous coupez tout, il perdra le peu de vie qui lui reste et il n’aura plus la force de reprendre.

A+ Doris

[oberline]

Bonjour,

Si votre olivier n’est pas encore dehors, vous pouvez couper toutes les parties sèches. Et lorsque la terre est sèche seulement, l’arroser avec modération.

Si le pot n’est pas bien percé ou pas drainé, les racines ont pu pourrir et il faudra y remedier (couche de cailloux ou billes d’argiles au fond, et arrosage modéré).
Un pot en terre cuite ou bois serait meilleur qu’un pot en plastique qui pour cette plante garde trop l’humidité, à moins d’arroser encore plus modérément.

S’il est à l’extérieur, attendez début avril avant de couper les parties desséchées.
Jamais d’arrosage excessif pour un olivier.

Bonne journée, Doris

[oberline]

Bonjour,

Je vous conseille de mettre vos plantes à bonne distance dans un bac en bois, dans un mélange de grand max. 50 % de terre de jardin si vous en avez et au moins de 50% de terreau (ou de tourbe, si vous n’avez pas de terreau). Ou davantage de terreau, si vous n’avez pas de terre de jardin.

Il faut mettre une bonne couche de cailloux ou de billes d’argile au fond, car un tel bac n’est pas percé je crois. Sinon les racines risquent de pourrir. Ne pas arroser en grande quantité si l’eau ne peut pas s’écouler.

Mais il faut bien sûr arroser chaque fois que la terre semble sèche sur le dessus.

La pluie est encore meilleure que l’eau du robinet.

Bonne journée, Doris

[oberline]

Bonsoir,

Si vous voulez que votre clôture perdure dans le temps, je vous conseille le fer. Le bois, malgré les traitements de longévité ne durant jamais aussi longtemps que le fer.

Il existe aussi du fer « avec traitement marine », traitement spécial contre la rouille qui sévit plus facilement en régions de bord de mer. Quitte à payer plus cher, au moins vous aurez un matériel durable.

Vous pouvez regarder chez Brico Dépôt, si vous en avez un dans votre secteur, ils destockent souvent du matériel à petit prix. Vous pouvez chercher une adresse de ces magasins sur le net.

Mais la qualité doit primer, si la différence de prix est gérable. Regardez sur le net le produit qui vous intéresse : des liens de différents magasins de bricolage vont apparaître et vous pourrez comparer.

Bonne soirée, Doris

[oberline]

Re

Si vous optez pour l’anti-cochenilles du commerce, ne faites pas le traitement dans une pièce de vie, car ces produits sont très toxiques et il ne faut pas les respirer. Faites-le dehors. Mais n’oubliez pas la plante dans le froid et sous la pluie !

Isolez aussi cet olivier des autres plantes, (pas de voisinage trop proche), sinon les bestioles risquent de passer à l’attaque sur les autres plantes, au cas où vous oubliiez d’en enlever l’une ou l’autre lors du nettoyage.

Je pense que vous n’ignorez pas que l’olivier déteste l’humidité excessive. C’est une plante dont le substrat doit être bien drainé.
Si vous pouviez le planter dehors en pleine terre, en région où le gel ne descend pas à plus d’env. -6° et en situation bien ensoleillée, ce serait l’idéal.

Doris

[oberline]

Re

Même si on ne voit pas très bien, en tout cas ce n’est pas le crachat du coucou et à part les cochenilles farineuses je ne vois pas ce que ça pourrait être d’autre.

Enlevez déjà de suite, avec un coton mouillé d’alcool les bestioles sur toutes les faces des feuilles et même les tiges et ensuite il faut traiter illico. Car c’est un insecte qui affaiblit sérieusement les plantes si on ne fait rien. Elles peuvent même en crever.

Si vous employez la soupe maison : rajoutez en plus de la cuillérée à café d’alcool, une cuillérée à café d’huile de colza (ça se trouve en supermarché et le reste s’employe en cuisine)

Donc produit du commerce ou potion savonneuse, mais faites ce traitement maison à plusieurs reprises jusqu’à ce que les cochenilles aient rendu l’âme. Et ensuite se préoccuper de la cause : voir sur internet ce qui favorise les cochenilles farineuses et essayer d’y remédier.

Bonne chance,
A+ Doris

[oberline]

Re,

Si vous avez suffisamment de chanvre, c’est mieux bien sûr et aussi plus esthétique.

Mais sous des haies, si vous n’avez pas assez de paillage et pour que les mauvaises herbes ne leur fassent pas concurrence le temps qu’elles grandissent, pourquoi pas une toile de paillage. A remplacer par la suite par du vrai paillage (BRF, chanvre, coques de cacao, écorce de pin, ardoise etc.) plus joli. Et pour le paillage non minéral, ça nourrit les plantes.

Doris

[oberline]

Bonsoir,

En fleurs résistantes en Alsace, en terre lourde :

les pivoines, les roses, les oeillets vivaces, les pieds d’alouette, les tulipes, les narcisses, le muscari (envahissant), l’ail d’ornement, les marguerites, les asters, le muguet (envahissant), le bergénia, les roses de Noël, les impatiens (impatiens = fleur annuelle non vivace et donc moins pratique) les glaïeuls, les dahlias (à sortir de terre l’hiver, pas pratique donc), les soucis, les achillées millefeuille, les clarkias, les giroflées, la capucine (plante annuelle), l’aubriète et la pervenche (ce dernier est un couvre-sol)

Asters et achillée millefeuille (nombreuses couleurs) sont très faciles à vivre et très robustes, jamais malades, réclament peu d’arrosage une fois bien établis.

en arbustes à fleurs : le forsythia, le groseiller sanguin, les spirées, le cognassier du Japon, les lavandes, la santoline, le mahonia, l’hibiscus, le weigelia, le deutzia, le prunus pissardii, les pommiers à fleurs, les cerisiers à fleurs, l’amélanchier, les pivoines arbustives, le chèvrefeuille, l’akebia quinata (ces 2 dernières sont des plantes grimpantes)

Voilà quelques pistes, mais cette liste n’est pas exhaustive.

Bon choix, si vous avez une autre question, j’essayerai de vous répondre.

Un bon conseil, pour progresser et identifier les fleurs : achetez ou faites-vous offrir un livre de jardinage avec des listes de plantes et des conseils de culture et/ou abonnez-vous à un magazine de jardinage : Détente Jardin (17 euros env. par an), Mon jardin Ma Maison ; L’Ami du jardin et de la maison, etc. Avec ça on progresse vite.

A+ Doris

[oberline]

Bonsoir,

ça pourraient être des cochenilles farineuses et dans ce cas il faudrait réagir avec un traitement soit du commerce (anti-cochenilles) soit une « solution insecticide maison au savon noir » que vous trouverez sur le net en tapant les termes entre guillemets : c’est un mélange d’eau, savon noir liquide et un peu d’alcool.

Il faut refaire le traitement plusieurs fois pour qu’il soit efficace. Et si c’est cela, enlever avec un chiffon ou coton humide les bestioles, avant le traitement.

C’est une attaque qui demande un traitement rapide, sous peine de faire dépérir l’arbuste si vous laissez l’envahissement continuer sans réagir.

Vous pouvez m’envoyer la photo en m’adressant un mail. Je confirmerai le diagnostic ou non.
ça pourrait être aussi les crachats de coucou, mais ça ce serait moins grave comme attaque.

A+ Bonne soirée, Doris

[oberline]

Bonsoir,

Si vous achetez une bougainvillée, vous pouvez protéger son pied avant l’hiver avec de la tourbe et essayer de couvrir la plante avec un voile d’hivernage, en découvrant à nouveau dès que le temps se réchauffe. Renseignez-vous lors de l’achat sur cette pratique.

Bonne soirée, Doris

[oberline]

Bonsoir Madonet,

Idem moi aussi j’ai parfois des murs de ma véranda ou de ma maison avec plein de coccinelles, mais j’ai tout de même des pucerons. Tu en as de la chance. Bon pour cette année, ils ne sont pas encore arrivés…

Bonne soirée, Doris

[oberline]

Bonsoir,

Sur le littoral breton, nous réussissons sans souci à garder un olivier et nous avions des lauriers roses qui résistaient sans souci également et ce sans aucune protection. Pourtant il peut faire -7° durant quelques jours là-bas. Les deux plantes étaient installées plein sud.

En Alsace j’ai réussi à garder des lavandes stoechas qui sont pourtant annoncées comme gélives à partir de -5° et ce depuis plusieurs années, côté sud et côté ouest du terrain. Pourtant il peut faire jusqu’à -15°.
En Alsace également, le romarin résiste bien également à nos hivers. Parfois quelques branches en pâtissent sans plus.

Mais il est vrai que le risque existe. En 2010 par -15° nos narcisses et une azalée ont dépéri en Alsace. Ainsi que le figuier, mais ce dernier est reparti et a refait quelques fruits l’année suivante.

L’olivier a bien grandi et est toujours là, mais j’ai offert les 3 lauriers rose, vu que je n’aime pas les plantes toxiques à une personne que cela ne dérange pas.

Si vous voulez prendre le risque, peut-être aurez-vous de la chance… que je vous souhaite.
Bonne soirée, Doris

[oberline]

Bonjour,

Je vous conseille une solution à base de savon noir liquide ou de copeaux de savon de Marseille, si vous en avez :

Dans un litre d’eau un peu tiède (dans un vaporisateur même récupéré d’un produit ménager) :

– 1 ou 2 cuillérées à soupe de savon noir, 1 cuillérée à café d’alcool

bien mélanger.

Refaire ce traitement 2-3 fois, car une fois ne suffit peut-être pas.
Vous pouvez aussi couper les parties les plus infestées, ou enlever les pucerons à la main.

Il faudra aussi se soucier des fourmis, qui elles ramènent les pucerons. Vous pouvez mettre du marc de café au pied de vos rosiers, ou des écorces de citron ou des petites boîtes anti-fourmis.

Bonne journée, Doris

[oberline]

Bonsoir,

— Pourquoi pas en plantes longtemps fleuries et ne demandant qu’une taille par an,

des POTENTILLES de petite taille (il y a des plus grandes qui sont les arbustives).

— Elles existent en blanc, crème, jaune, orange, rose. Les feuilles débourrent à partir du mois de mars et restent jusqu’en octobre env. Ensuite des fleurs de mai jusqu’à la fin de l’été.

— Des ROSES de différentes couleurs demanderaient un entretien plus régulier : car il faut régulièrement couper les fleurs fanées. Et faire fin mars la taille annuelle.

— Mais comme les potentilles, une fois bien implantées, elles demandent très peu d’arrosage au bout de deux-trois années. Donc entretien assez réduit pour les deux.

ou alors des LAVANDES de format compact, qui réclament elles aussi juste une taille annuelle et une fois bien implantées, plus d’arrosage du tout.

A+ Doris

[oberline]

Bonsoir,

A part l’arrachage, je verrais encore que le fait de tondre la pelouse une fois le feuillage sorti, finirait à force d’en venir à bout, car en éliminant le feuillage encore vert on affaiblit le bulbe, qui finirait par dépérir.

Car on dit bien que pour conserver les plantes à bulbe, il faut laisser le feuillage en place jusqu’à ce qu’il jaunit.

En plus radical, peut-être éventuellement que le désherbant sélectif en viendrait à bout ?

Mais j’essayerais d’abord d’en venir à bout à force de tondre le gazon assez court une fois que le feuillage des montbrétias est sorti et encore vert.

Bonne soirée, Doris

[oberline]

Re

J’oubliais de dire : si votre terre est très calcaire, il y a (à part des conifères nains) peu de persistants qui conviennent (ce sont souvent des plantes de terre de bruyère : camélias, rhododendron etc)

Dans ce cas il vaut mieux oublier l’hortensia et les bruyères et préférer une lavande (plusieurs hauteurs) (mais pas la lavande stoechas (ou papillon) qui veut de la terre acide),

mais plutôt une pivoine, un millepertuis arbustif (gros développement), en plus petit des potentilles (en fleurs durant des mois), de la santoline (persistante). Les autres arbustes que j’ai cités conviennent.

A+ Doris

[oberline]

Bonjour,

En couvre-sol, vous pourriez mettre des bruyères (Erica Carnea : il faut alléger la terre qui doit être à tendance acide, donc y incorporer si elle ne l’est pas du sable et de la tourbe)

ou des pervenches (persistantes également en version major ou minor).

En arbuste par ex. un laurier taillé en arbre (forme boule), qui vous donnera aussi les feuilles de laurier pour la cuisine, une ou deux « Véronique » (nom latin Hebe) au feuillage panaché, jolie toute l’année, un groseiller sanguin en forme d’arbre également (il n’est pas persistant), un petit buis etc., un hortensia (intéressant durant des mois)

Bon choix, bon dimanche, Doris

[oberline]

Bonjour,

Je viens de lire dans une revue de jardinage que cela provient d’un excès de vigueur de votre arbre.

Il faut apparemment bêcher autour de l’arbre jusqu’à découvrir les racines (avec précaution) et ensuite sectionner en partie une voire deux racines si elles sont nombreuses. Et ensuite il paraît que l’arbre une fois affaibli, il se mettra à fleurir.

Attendez tout de même l’avis d’autres membres ou de votre fournisseur, surtout pour savoir s’il faut sectionner une seule racine ou plutôt deux.

J’ai le même souci avec un pommier d’ornement. Si cette année-ci il persiste à ne pas fleurir correctement, je sectionnerai une racine pour voir.

Bonne journée, Doris

[oberline]

Bonjour,

Toutes les variétés d’abricots sont autofertiles et vous avez bien de la chance de pouvoir en cultiver par chez vous.

Il en va bien sûr tout autrement des pommier et cerisiers, hormis certaines variétés et les cerises qui ne sont pas rouges. J’ai oublié leur nom ! Mais j’ai un cerisier (van) à 30-40 m du mien, dont la variété est compatible et qui pollinise le mien (bigarreau hâtif burlat).

Chez nous en Alsace, c’est très aléatoire les récoltes d’abricots. Certaines années les abricotiers peuvent crouler sous les fruits, d’autres il n’y a rien du tout, pour cause de gel tardif, voilà ce que m’a dit un collège heureux propriétaire d’un abricotier. Déjà pour les pêchers, on n’est pas la région la plus favorable de France.

Alors je vous envie votre région au climat plus doux.
Bonne soirée, Doris

[oberline]

Bonsoir,

Les deux emplacements sud et ouest conviennent, sachant quand même que les rosiers n’aiment pas les situations confinées, ils aiment les endroits ouverts.

Donc les deux situations se valent, si à l’ouest ils ne sont pas trop entourés de murs et le plein cagnard n’est pas un souci pour un rosier, à partir du moment où il ne manque pas d’eau lorsqu’il est encore jeune surtout.

S’ils sont vraiment très exposés au vent côté sud, je leur ferais une butte de tourbe l’hiver venu, pour protéger leurs pieds du froid.

Attendez peut-être d’autres avis avant de vous décider.
Chez moi côté jardin breton, j’en ai même côté nord, bien exposés au vent, sans souci, mais en pleine lumière bien sûr.

Bonne soirée, Doris

[oberline]

Bonjour,

Tant que ça reste vert, et vu qu’on est en hiver, il y a toujours, dans les bonnes conditions de culture (arrosage adapté et sans eau stagnante), et bien loin du chauffage, qui dessèche et en position lumineuse ! d’ici le printemps un espoir qu’elle refasse de nouvelles pousses.

Bonne chance, Doris

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