Il y a beaucoup de variétés d’arums. Certains font des pousses qui sortent du sol comme le fait le muguet. Si des pousse sont en train de sortir du sol, il est probable que les fleurs viennent cette année. De toute façon il n’y a aucune action qui peut le faire fleurir dès cette année s’il ne le fait pas spontanément.
Mais vous pouvez écussonner les gourmands avec de beaux rosiers. L’hiver prochain vous les transplanterez et vous aurez de nouveaux rosiers. Il suffit d’un œil pour faire un rosier, vous pouvez même le prendre sur un bouquet de roses.
https://www.youtube.com/watch?v=iiEKcxzthXk
Si on n’a pas d’écussonnoir on peut très bien prendre un couteau à éplucher les légumes ou un canif… et à la place du vitagreffe, on peut prendre un petit bout de chatterton d’électricien ou du sparadrap, on peut serrer avec du raphia ou un fil à coudre ou autre.
Au bout de 3 semaines l’œil s’est soudé au porte-greffe. Si on fait ça maintenant on peut déjà tailler au dessus, les 3 semaines écoulées. L’œil se met alors à bourgeonner (greffe à œil poussant). Si on le fait pendant l’été, il faut attendre le printemps suivant pour pour tailler au dessus (greffe à œil dormant).
Exercez-vous et vous verrez que c’est beaucoup plus facile que ce qu’on peut imaginer.
Mais une fois que les feuilles auront séché, il faudra les diviser et les replanter si vous voulez en avoir plus ou en donner à des amis.
Personnellement chaque fois que j’ai planté du gazon, j’ai labouré toute la parcelle où je voulais qu’il soit. J’ai enlevé les mauvaises herbes en même temps. J’ai bien ratissé pour égaliser. J’ai semé et à nouveau passé très légèrement le râteau pour enterrer les graines en surface, j’ai passé un rouleau pour tasser et enfin j’ai arrosé. J’ai toujours eu de bon résultats. Comme le dit Doris, il y a plusieurs catégories de gazon, suivant l’utilisation désirée et aussi le climat. Si vous êtes en climat méditerranéen, il existe des gazons spécifiques.
Je pense qu’il y a beaucoup de variétés de succulentes, qui en général viennent d’endroits du globes secs (la réserve d’eau qu’il y a dans les feuilles leur permet de résister à la sécheresse). Parmi ces endroits il y en a qui sont plus ou moins froids ou chauds. Donc chaque succulente a un degré de rusticité différent. Par exemple il y a des cactus qui résistent assez au froid, d’autres qui gèlent à des températures peu froides. Parmi les succulentes qui ne sont pas des cactus, il y en a qui résistent à des grands froids par exemple les joubarbes. On en trouve en montagne.
Cela sert à ce que les tomates se tuteurent toutes seules ou presque. Souvent on les fait avec du grillage. https://www.google.fr/search?q=cages+%C3%A0+tomates&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=0ahUKEwic6cT3iYXbAhXLL1AKHRJxAgUQsAQIZQ&biw=1920&bih=987
Dans ce cas non ce n’est pas la peine des les rentrer. Personnellement j’habite dans le Var, les plantes succulentes qui poussent dans mon jardin ne gèlent pas malgré des températures parfois légèrement négatives.
Pour les cochenilles : https://www.jardiner-malin.fr/fiche/lutte-cochenille.html
Si les légumes sont cuits, les microbes sont détruits. Le danger viendrait des légumes mangés crus.
Il a des chances de repartir.
C’est peut-être bien pour obtenir une nouvelle variété de fraisier. Cependant en semant vous obtiendrez des fraisiers qui ne seront pas sélectionnés. Vous aurez beaucoup de fraisiers qui auront des fraises un peu petites et pas obligatoirement très bonnes. Quelques uns seront bien. En semant on obtient des enfants qui sont tous différents. Quand on fait reproduire un fraisier par stolons on obtient des fraisiers tous identiques entre eux et à celui de départ que vous aurez acheté (ou qu’on vous aura donné) qui lui a été sélectionné.
Bien sûr par semi vous pourrez sélectionner le meilleur et le faire reproduire par stolons, et vous aurez créé une nouvelle variété. On peut aussi s’amuser à couper les étamines d’une fleur très jeune (donc non encore fécondée) d’un fraisier d’une variété A et la féconder avec le pollen d’une variété B. Puis semer les graines de la fraise obtenues. On obtient des croisements. Il faudra aussi sélectionner ce qu’il y a de mieux. En choisissant les variétés ça peut être intéressant.
Mais c’est un travail qui demande de la patience et du temps.
Quelle est la variété de cet arum ? Il existe beaucoup de variétés d’arums. La plupart des arums bancs que l’on voit sont des arums d’Ethiopie (Zantedeschia aethiopica) https://fr.wikipedia.org/wiki/Zantedeschia_aethiopica
Ne serait-ce pas un arum sauvage, par exemple un arum italicum ou un arum maculatum ? http://www.afleurdepau.com/Flore/araceae/arum-italicum/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Arum_italicum
https://fr.wikipedia.org/wiki/Arum_maculatum
Dans ce cas c’est un peu normal.
Regardez la forme des feuilles, elles ne sont pas tout à fait pareilles.
Je crois que ce sont des tomates de grande vigueur qui font de toutes petites tomates sans intérêt pour la plupart des espèces. En effet il y en a plusieurs variétés qui sont en général des F1. On y greffe soit des tomates, soit des aubergines. Le but n’est pas leurs fruits, mais leur racines résistantes aux maladies et ayant une excellente assimilation des sels minéraux de la terre.
Bonjour, c’est un arbuste que pousse assez lentement. Vous pourriez le rempoter avec un bon terreau (depuis 3 ans dans le même pot, ça me semble utile) et peut-être en ce printemps où il va croître lui apporter un peu d’engrais (le substrat où il est planté doit être un peu épuisé).
Elle ne craint pas la sécheresse, c’est certain qu’une terre trop humide en permanence est très néfaste et peut la faire pourrir, mais là vous ne l’avez arrosé qu’une fois semble-t-il. J’espère que la terre est bien drainée. Peut-être que votre rose du désert a manqué de soleil dans votre cuisine et a dépérit car ne faisait pas assez de photosynthèse. C’est en effet une plante que aime le soleil. Je pense que vous pourriez actuellement la placer au soleil et l’arroser légèrement. On peut la placer dehors si la température est supérieure en permanence à 10°C,
Les passiflores ont plus tendance à fleurir quand leur pot est un peu petit. Le fait que les racines soient à l’étroit active leur floraison.
Les aloès sont des plantes qui ne craignent pas la sécheresse. Donc pas de terre trop humide, et eau stagnante, c’est pour ça que les billes d’argile sont utiles. Si la terre est trop humide il y a risque de pourriture. Les aloès ne sont pas trop difficiles sur la nature du sol, mais il leur faut beaucoup de soleil, c’est le principal élément pour les faire bien pousser.
Pour les pommiers, les poiriers, les cognassiers et les noyers le ver est en réalité une chenille d’un papillon de nuit carpocapse dont le nom latin est « Cydia pomonella ». Comme le dit Pifou, la bouillie bordelaise n’a aucun effet sur cet insecte. Le papillon femelle vient pondre une multitude d’œufs à certains moment de l’année. Il y a 2 cycles dans l’année dans les régions au nord de la France, mais dans le sud il y a souvent un 3ème cycle. Il faut traiter au moment où les petites chenilles ont éclos. Elles se promènent, mordent par ci par là et quand elle rencontrent un jeune fruit elles y pénètrent. Le premiers traitements se situe après la floraison au moment où les jeunes fruits sont tout petits. le second vers le mois de juin, le 3ème à l’automne. On peut placer des pièges sexuels pour connaître les moments où les traitements seront efficaces. Les traitements sont soit certains insecticides (mais ce n’est pas bio et on ne trouve plus les produits actuellement pour les particuliers), soit des traitements bio. Actuellement il y en a 2. Le premier à base de bacillus thuringiensis, le second à base de virus de la granulose (La carpovirusine). Ce dernier est le plus efficace, mais il faut le conserver au frigo, voire au congélateur pour une longue durée.
Pour les pruniers, c’est un peu la même chose il y a un carpocapse qui se nomme « Grapholita funebrana »
il y a 2 générations par an qui malheureusement peuvent se chevaucher, ce qui ne facilite pas pour connaître l’époque du traitement.
La carpovirusine n’est pas efficace sur cet insecte. Certaines variétés de prunes comme la reine-claude verte ne sont pas atteintes.
Il existe aussi des pièges à base de phéromones (chers et peu efficaces). On peut installer des nids à chauve souris, des lampes UV qui électrocutent les papillons, des pièges qu’on peut fabriquer avec des bouteilles en plastiques, on peut mettre du carton ondulé où les chenilles viennent se mettre pour faire leur chrysalide qu’on enlève et brûle, des bandes à base de glu, etc…
Il y a aussi une chenille (ver) qui touche les pêches » la tordeuse orientale du pêcher » qui est aussi sensible à la carpovirusine.
La carpovirusine a l’avantage de transmettre le virus de la granulose aux générations suivantes.
Disons qu’on arrive à en avoir sur la côte d’azur et en Corse. Ils deviennent de grands arbres et font de fruits, mais à Marseille ils gèlent l’hiver car le mistral (vent froid) est trop puissant. A Nice par exemple on en voit beaucoup chargés de fruits.
Le thym citron est un croisement entre du thym ordinaire et du thym faux pouliot. Beaucoup d’individus de ce dernier ont souvent une partie de la plante avec des colorations rougeâtres (sur leurs tiges en particulier) (anthocyane). Ce qui fait que suivant les parents du thym citron, celui-ci prend plus ou moins des couleurs avec du rouge. Ce n’est pas une maladie.
Oui, il y a beaucoup de variétés de coléoptères dont les larves s’attaquent au bois. Les plus connus sont les capricornes dont une variété s’attaquent même au bois sec des poutres de maison. Souvent sur les vieux arbres, le duramen a tendance à mourir (c’est pour ça que les arbres peuvent être creux) et les insectes en profitent et les arbres finissent par mourir. Je me trompe peut-être, mais à ma connaissance, les frelons ne détruisent pas les arbres. Je pense qu’il ont profité d’une cavité pour faire un nid. Ils aiment bien aussi se nourrir de la sève qui coulent des arbres.
Je pense qu’il y a eu des larves de coléoptères car sur la photo de la branche cassée on voit nettement des galeries creusées dans le bois.
Mon opinion, qui n’engage que moi, est que ce n’est pas cette jardinière qui a causé la mort de cet arbre. Ce n’est pas l’avis de tout le monde, c’est peut-être moi qui ai tord ? Je crois que cet arbre a été attaqué de l’intérieur par des insectes (probablement des larve de coléoptères), que des champignons se sont rajoutés sur cet arbre affaibli, qui a fini par mourir.
La taille des cassis (comme d’ailleurs des groseilliers) consiste simplement à supprimer les branches trop anciennes. Ce n’est pas grave de supprimer des banches qui déjà commencé à peine à bourgeonner.
La tailles des framboisiers consiste à supprimer tout ce qui a déjà donné des fruits. En général pour les framboisiers non remontant les tiges qui ont donné du fruit l’année précédente meurent et on les retrouve sèche. Pour les remontant il faut couper ce qui a déjà fructifié (le haut des tiges).
A mon avis il est mort. Les arbres ne sont pas éternels. Pour les champignons, je ne suis pas sûr que ça soit des Armillaria mellea qui attaquent même le bois vivants mais qui ont l’avantage d’être comestibles de qualité. Les photos de ce champignon me font plutôt penser à un genre Collybia (peut-être Collybie à pied en fuseau) qui n’est pas toxique mais sans intérêt gustatif. Est-ce que quand on retourne le champignon, il y a un anneau ?
Si par hasard le saule repartait (ce qui m’étonnerait) je vous conseille de couper une branche et de la bouturer pour faire un nouvel arbre. Et s’il ne repart pas et vous teniez à avoir un saule pleureur chez vous, demandez à quelqu’un qui en a un, une branche. C’est le moment de faire une bouture. Les boutures de saules prennent très facilement.
Si tout n’est pas pourri ? Je me trompe peu-être mais je tenterais le tout pour le tout, je le déterrerais et le laverais bien, et replanterais ce qui n’est pas pourri dans un autre terreau. Mais peut-être que tout est déjà pourri.
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