Bonjour,
Sans doute un souci d’arrosage : soit pas assez, soit de trop ou trop d’engrais.
Il faut seulement arroser quand la surface du sol est sèche.Et quand elle l’est il faut arroser.
En attendant, coupez les parties sèches.
Après un arrosage, mettez un paillage en place : BRF, cosses de fèves de cacao, pouzzolane. Mais ne pas pailler un sol sec.
Si le sol est sec, le décroûter en binant, (ne pas blesser les racines) serait bénéfique. Le paillage empêcherait que le sol ne croûte à nouveau.
Bonne journée,
Doris
Bonjour,
Est-ce que vos pots étaient bien percés ? Et est-ce que vous avez seulement arrosé lorsque la surface du pot était sèche, comme il faut le faire ?
Il ne faut pas non plus laisser d’eau dans la soucoupe où le cache-pot, cette eau stagnante faisant pourrir les racines.
Pour l’orchidée, à laquelle il faut de la lumière, l’échec semble normal.
Avant d’installer une nouvelle plante, vérifiez sur le net ses conditions de culture.
Bonne journée,
D.
Bonsoir Aleks,
Bien contente que ça marche. Prenez comme dit du vinaigre blanc pour conserves, car il y en a aussi (en général le + cher) qui ne convient qu’au nettoyage.
Bonne soirée,
Doris
Bonsoir,
Justement, à propos de fougères, j’avais durant un bon moment, une fougère nid d’oiseau dans ma salle de bain.
Elle y poussait très bien, cette plante, comme toutes les fougères appréciant l’humidité et la mi-ombre, voire l’ombre.
De plus c’est à mon sens, une très jolie plante, assez originale.
Bonne soirée,
Doris
Bonsoir,
Avez-vous essayé de rajouter du vinaigre blanc (celui pour les conserves) dans l’eau de rinçage ? ça mérite un essai. Ma grand-mère en rajoutait dans l’eau de lavage de ses salades et légumes, dans le but de faire partir d’éventuelles bestioles, quand mon grand-père les ramenait du jardin.
D.
Je voulais écrire : « Si vous regardez » avec un z bien sûr. Mais au bout de 3 essais je crois, on ne peut plus corriger, d’où ce rajout.
D.
Bonsoir,
Si vous regarder sur des sites de jardinage, on conseille partout de procéder ainsi.
Il me semble que c’est plus facile de les déloger qu’avec les doigts et moins désagréable aussi. Sans coton ni rien, il faut gratter avec les ongles…
Car les cochenilles sont collées, autrement que les pucerons, que perso il m’arrive aussi d’enlever avec les doigts, en petite quantité. Les pucerons on les effleure à peine et hop ils sont détachés. C’est moins salissant.
D.
Bonjour,
Il faut couper les parties sèches et arroser davantage et pas sur les feuilles.
De préférence le matin ou le soir.
Bon week-end,
Doris
Bonsoir,
Chez moi le composteur est placé devant les sapins du voisin, qui lui font de l’ombre. Donc si vous avez une haie ou un arbre en bordure de terrain, ce serait l’endroit idéal.
Lorsque le compost est sec, il faudrait l’arroser (ou ouvrir le couvercle en journée lorsqu’il pleut et le refermer le soir), car un compost sec peut attirer les rongeurs, qui peuvent passer par les petits interstices (les souris en tout cas).
J’ai lu un jour que des morceaux de pommes de terre ou du journal mouillé posé par terre attiraient les vers.
N’hésitez pas à y incorporer les boîtes en carton des oeufs, déchirées en morceaux, il paraît que le carton plaît aux vers. (Auparavant, enlevez la partie imprimée du carton qui ne doit pas aller au compost).
Bon week-end,
Doris
Bonsoir,
Perso j’ai pour habitude de les enlever avec un coton ou un chiffon imprégné d’alcool.
Ceci avant le traitement au savon noir, additionné d’une cuillérée à café d’alcool pour un litre d’eau. Que je renouvelle jusqu’à complète disparition.
Bonjour Adeline,
Pour le myrtillier il faut de la terre acide. Donc je dirais terre de bruyère et terreau en mélange.
Si vous n’avez pas de beaucoup de terre de bruyère, la tourbe bien acide aussi ou du sable lavé peut la remplacer.
Mais pas de terre de bruyère ni de tourbe pures, car elles sont trop pauvres.
Il faut une partie de terreau. Bien arroser aussi, et pailler avec de l’écorce, qui rajoute de l’acidité, ce dont cette plante a besoin. D’autre part cela conserve l’humidité. Vous pouvez pailler avec des fougères, à défaut d’écorce. Ou avec des branches de sapin ou de pin.
Et comme dit, à mi-ombre, comme dans les forêts vosgiennes. Donc vu le froid dans les Vosges, cette plante tolère bien les hivers froids.
Bon week-end,
Doris
Re
Comme dit mon sol est argilo-calcaire, donc lourd, mais il comporte pas mal de cailloux et il y a parfois spontanément des coquelicots, du bouton d’or, donc il est bien calcaire aussi.
Sur le talus en question, il est assez meuble, car avant il y avait durant plus de 25 ans, des cotonaesters, que j’ai arrachés, pour en faire un talus plus fleuri et moins tristounet.
Sur le même talus, il y a un arbre de Judée, qui paraît-il fixe l’azote de l’air et en distribue donc sans doute aux plantes autour de lui, ce qui pourrait être une amorce d’explication à cette non-floraison, de même que les températures assez caniculaires, surtout en juillet et il y a une quinzaine de jours, où ça montait jusque env. 40°. Là c’est env. 28-30° depuis quelques jours.
Comme dit, le plein soleil ne doit pas leur plaire non plus. Des chrysanthèmes, récupérés au cimetière, ayant survécu à l’hiver assez doux, s’y plaisent très bien. Ailleurs au jardin, à un endroit plat, l’un de ces chrysanthèmes a rendu l’âme. Les talus on dit que c’est mieux pour les plantes frileuses. Et je confirme. J’y ai même deux agapanthes, récupérées dans le jardin breton.
Merci pour ta réponse.
Doris
Bonjour,
Vous faites très bien de poser la question quant à la toxicité d’une plante à employer en barbecue ou pour des brochettes.
INTERDICTION FORMELLE pour le laurier rose, qui lui, est très très toxique.
Il y a autant d’ennemis que d’amis au jardin et comme vous l’avez fait, il faut bien vérifier et dans le doute s’abstenir.
Toutes les fleurs du jardin ne sont pas non plus comestibles, c’est une évidence qu’il faut rappeler à ceux qui seront moins prudents que vous l’êtes.
Bonne journée et bon barbecue peut-être ce week-end.
Doris
Une bonne recette avec des fanes (feuilles de radis) :
J’élimine les tiges, trop coriaces. Je fais cuire les fanes avec une quantité d’eau, suivant le nombre d’assiettes de soupe que je souhaite, j’ajoute deux ou trois petites pommes de terre, un ou deux oignons, deux ou trois gousses d’ail, du sel, un bouillon de poule, voire un peu plus suivant la quantité de liquide.
ATTENTION : Il vaut mieux mettre le sel en fin de cuisson, si malgré le bouillon de poule, l’ail et le fromage, la soupe serait encore un peu fade.
Je fais cuire jusqu’à ce que le tout soit à point, je mixe avec une girafe (bâton mixeur), j’ajoute de la crème fraîche, je rectifie l’assaisonnement, éventuellement j’ajoute un peu de fromage, genre parmesan, gruyère ou roquefort, pour donner un peu plus de goût. Je rectifie l’assaisonnement.
Et voilà un met sain, pour accompagner une quiche ou pizza (à la place d’une salade) ou à déguster tout seul ou avec un peu de fromage par exemple, car c’est assez consistant.
Et juste avec un dessert, sans rien d’autre, cela peut faire un repas du soir sympa.
Bonne dégustation,
Doris
Bonjour,
J’ai un stéphanotis depuis plus de 25 ans dans ma véranda.
C’est une plante qui chez moi est increvable. Elle est placée côté nord de ma véranda, où le soleil est moins présent. Mais la luminosité est importante, sauf en plein été, où je descends le store extérieur et même les stores intérieurs côté sud et ouest, ce qui fait baisser la température à env. 30° lorsqu’il fait env. 40° dehors.
En hiver, je chauffe la véranda à env. 15° max. Jamais plus. Il arrive que des feuilles jaunissent, je suppose que c’est le manque d’humidité qui est en cause. Une fois j’ai arrosé avec un petit peu de vinaigre dans l’eau, sachant qu’elle apprécie un substrat un peu acide ; hélas toutes les feuilles sont tombées. Mais après avoir changé la terre, au bout de quelques semaines des feuilles sont apparues et maintenant tout est rentré dans l’ordre.
Les fleurs sentent divinement bon ; mais il existe maintenant dans le commerce une variété sans parfum. Vraiment dommage. J’en ai acquis une, sans savoir et l’ai entretemps placée dans le même pot que la plante âgée de plus de 25 ans.
Entre mars et août, je lui donne des bâtonnets rouges d’engrais pour plantes à fleurs (tous les trois mois) et ça lui réussit bien. Je l’arrose uniquement lorsque le dessus est un peu sec, mais si on tarde trop, les feuilles jaunissent.
Elle n’a jamais eu ni cochenilles, ni d’autres insectes. Parfois la floraison tarde à venir ou fait une longue pause.
Bonne chance, Doris
Re
Je viens de penser au MAGNOLIA SOULANGEANA, différentes variétés, avec leurs superbes fleurs en forme de tulipe au printemps, qui lui, ne gêne absolument pas les fondations (je parle bien du magnolia à feuilles caduques, pas l’autre, qui fleurit en été) !
C’est un arbre magnifique et qui sur tous les sites est décrit comme ne nuisant pas aux fondations. Mais ne jamais le déplacer une fois planté, ses racines étant assez cassantes. Et ne pas lui faire concurrence avec d’autres plantes à ses pieds.
D.
Bonjour,
Si la distance avec la maison du voisin était d’environ 10 m, je conseillerais sans hésiter, pour la qualité de son ombrage, sa vitesse de pousse et sa beauté, le PAULOWNIA tomentosa.
Mais avec moins de distance, je ne choisirais pas cet arbre qui pourrait nuire aux fondations de la maison du voisin.
Pourquoi pas un POMMIER D’ORNEMENT ? Le mien, un Coccinella Courtarou acheté à env. 80 cm de hauteur, fait en quelques 3-4 ans déjà plus de 3 mètres et pourrait donc cacher le voisinage en assez peu de temps.
Il fait de petites pommes de la taille de cerises intéressantes pour les oiseaux et ne pose aucun souci de maladies. Belle floraison au printemps. Il faut juste bien suivre les arrosages comme pour tout jeune arbuste et c’est presque tout.
Avec la même allure de buisson haut et des baies comestibles (suivant la variété) et du moins prisées par les oiseaux, joli du printemps à l’automne : un AMELANCHIER.
L’Albizia, une bonne idée, mais il vaudrait mieux qu’il ne fasse pas plus de -10° par chez vous, bien que chez moi en Alsace quelques sujets résistent au-delà, lorsque plantés à l’abri d’un mur et sur une butte.
Bon choix et bonne journée,
Doris
Bonjour,
Quand votre rosier a-t-il été planté ? Si c’est récemment, c’est sûrement l’arrosage manquant qui peut être en cause.
Ou alors est-ce que vous arrosez les feuilles, ce qui avec le soleil par-dessus pourrait les faire griller ?
C’est sûr qu’avec une photo, on pourrait se faire une meilleure idée. Si vous n’arrivez pas à la poster, le modérateur vous aidera certainement.
Doris
Bonjour,
Vous ne risquez rien si vous coupez toutes les parties de branches qui sont marron et où les éventuelles feuilles restantes sont desséchées.
Au contraire, l’arbre sera moins faible, s’il ne doit pas encore se battre pour essayer de maintenir en vie les parties en voie de mourir.
Bien sûr, plus l’arbre est petit, moins il faut couper. Et il ne s’agit que de couper des parties déjà mortes et aussi d’épointer un peu les branches encore en vie.
Par ex. sur mon petit figuier d’env. 30 cm de hauteur, j’ai épointé de quelques cm les 2-3 petites branches et coupé de moitié les feuilles qui plantées en pleine chaleur auraient, si laissées entières, fatigué le tout jeune petit arbre.
Ces deux tout petits figuiers (racinés à la plantation) malgré la canicule sont en voie de bien reprendre, arrosés dès que le sol est un peu sec et après un arrosage je les ai paillés et je viens de mettre à leur pied quelques feuilles de consoude, (un engrais végétal), ce qui leur fera, l’ayant déjà fait, un supplément d’aide pour bien pousser.
Voilà donc quelques pistes,
Doris
NB Pour donner les meilleurs conseils concernant surtout l’arrosage, les membres de JM posant une question devraient d’emblée indiquer dans quelle région ils jardinent et si possible (s’ils en ont le temps) poster une photo.
Mes plantes que j’ai évoquées ci-dessus poussent dans la plaine d’Alsace.
Bonsoir,
Avez-vous pensé à arroser suffisamment ce tout jeune arbre ? Chez moi la canicule a sévi ces dernières semaines et j’ai dû arroser de jeunes arbres (paulownia, figuier, pommier d’ornement…) quasiment chaque jour, les boutures au moins une fois par jour.
Avez-vous pensé à pailler à son pied, après un arrosage copieux ?
Evitez de pailler avec de l’écorce qui ne convient qu’à des plantes de terre de bruyère.
Si vous avez de la consoude, posez-en quelques feuilles à son pied, en les enfonçant légèrement, puis arrosez. Chez moi cette procédure fait de l’effet aux plantes.
Bonne journée demain,
Doris
Bonjour Mathilde,
J’ajoute, en ayant récemment fait l’expérience pour la première fois :
j’ai associé dans un pot d’env. 15 cm de diamètre, (je l’ai dehors à mi-ombre, préparée pour l’un de mes fistons) de la menthe (variété à odeur de chocolat-menthe, un délice à sentir !) + de la ciboulette : si j’en avais le temps, je mettrais maintenant une photo : je ne sais pas faire toute seule) ;
En résumé, ma menthe chocolat ou normale (je ne l’identifie pas), feuilles minces de couleur vert vif, se porte très bien en pot. Pour une fois j’ai pris un pot (genre cache-pot, sans trou !), ce qui par cette chaleur caniculaire garde l’humidité et j’arrose dès que le terreau est desséché.
Bonne journée,
Doris
Bonjour,
Si vous gardez votre fuchsia en pot, Baradesque, la fiche de JM ci-dessous (très bien faite je trouve) le dit bien, il faut arroser souvent, avoir planté dans un sol meuble et donc en définitive frais. La terre ne doit pas être tassée comme dit et la plante placée plutôt à mi-ombre, pas le soleil qui cogne, ni l’ombre trop épaisse : entre les deux.
D’ailleurs dans quelle région jardinez-vous ? Quel climat : continental comme chez moi ou océanique ou semi-océanique, car le fuchsia voir la fiche ci-dessous ne supporte pas beaucoup le froid.
Moi non plus, en terre, je n’ai jamais eu beaucoup de chance avec les fuchsias : sol trop argilo-calcaire chez moi. Sans beaucoup de changement du sol, c’est rédhibitoire.
En pots, le temps d’une saison j’avais il y a quelque années de magnifiques fuchsias, mais arrosage suffisant, sans excès, obligatoire, la terre se desséchant très vite avec des températures de 30°.
Quant aux clématites, j’en avais une belle, Nelly Moser, du temps où je débutais en jardinage, côté Est, protégée par un mur de cabane, en bois. Bien fleurie, sans beaucoup de soins, car elle avait des plantes à son pied, qui gardaient la terre fraîche.
L’été dernier, par contre, j’ai planté 4 clématites, avec beaucoup de soins adaptés je précise… Mais, étant partie quelques semaines, personne n’ayant arrosé, je vous laisse deviner. Trois exemplaires sur 4 n’étaient plus là à notre retour. Depuis elle n’ont pas refait de nouvelles pousses, alors que l’une au moins, déterrée, puis remise en place avaient des racines en très bon état… Mystère. Car entretemps j’arrose suffisamment, sans excès non plus. Il paraît qu’il faut arroser (un passionné me l’a dit) à env. 30 cm du pied, les racines cherchant l’eau et préférant cela…
La quatrième, une clématite Alpina, plantée à mi-ombre (2 étaient au soleil, juste avec un peu d’ombre de plantes en hauteur), une était un peu trop à l’ombre (elles ont toutes trois disparu en surface).
La Clématite Alpina donc, a survécu, sans fleurir beaucoup, elle a un feuillage sain et a fait des petites clochettes bleues en nombre un peu modéré, en avril dernier je crois.
Voilà les conseils de la fiche et mon expérience. Perso, j’attends, car une fois, une clématite bleue (variété ?) bien poussante et fleurie a durant 4 ans disparu mais…. un jour elle a repercé et depuis je l’ai divisée en 3 clématites, faisant quelques fleurs, (rares), du feuillage clairsemé, mais elles reviennent chaque année…
Il va falloir que l’infirmière Doris se penche sur leur cas.
Bonne chance et bonne soirée,
D.
Bonjour Jean,
Il est vrai que deux écoles s’affrontent à ce sujet. Quand je parle de mastic je parle d’une expérience concluante avec mon CERISIER hâtif BURLAT, qui acheté avec une blessure ayant fini en gommose (dans le feu de l’action, avec le bagout du vendeur, nous n’avions pas remarqué cette blessure)
J’ai donc eu le nez creux en tartinant cette blessure sur le tronc à l’époque de l’achat d’env. 3 cm qui a affecté la branche charpentière au point d’où partent les charpentières sur une largeur assez sérieuse.
Vu cette blessure, l’arbre affaibli a développé à l’époque plusieurs désordres se succédant ou à la fois : gommose, pucerons noirs en quantité, maladie de taches avec trous (quelque chose comme cylindrosporiose – pas le temps de vérifier)
Deux-trois applications d’argile verte prête à l’emploi et prévu pour cet emploi ont sont venues à bout. Il est à nouveau sain, bien sûr, par moments les pucerons reviennent, dans ce cas il faut empêcher les fourmis de grimper avec une bande sur le tronc prévue à cet effet, voire d’autres moyens écolo..
D.
Re
Je crois que vous avez raison, il est possible, surtout s’il y a beaucoup de vent que la pollinisation ne se soit pas faite, mais il manque peut-être aussi des fleurs dans l’entourage et alors n’ayant rien à manger, les abeilles etc. ne viennent pas.
D’autre part, regardez sur le net la taille correcte d’un cerisier. C’est maintenant jusqu’à fin septembre, la bonne période. Ce qu’il faut savoir c’est que justement il n’a pas besoin de branche centrale. Il vaut mieux le tailler en gobelet, c’est-à-dire éliminer en douceur et en faisant deux coupes, d’abord un bout, puis le reste, pour qu’en tombant la branche ne s’arrache pas. Un cerisier réagit très mal aux blessures. Un prunier un peu moins, mais même les autres fruitiers n’apprécient pas.
Il faut former un gobelet, comme si un oiseau voulait traverser l’arbre ; ainsi avec moins de branches et de feuilles, les cerises s’agglutinent moins. Et puis si le surplus ne tombe pas tout seul, au bout d’un moment, on peut détacher si l’arbre est bas quelques cerises soit vertes ou plus tard même.
ATTENTION : le cerisier est l’arbre par excellence, si c’est un haute tige surtout, dont les gens tombent. Il faut être très prudent et lire les conseils sur le net. Je connais perso, un Monsieur, pas un perdreau de l’année, mais encore jeune qui a fait cette expérience et qui s’est sérieusement blessé. (Il nous l’a raconté).
Bonne chance, Doris
Bonjour,
Idem chez moi que chez Tupayo. Que ce soit en Alsace ou en Bretagne, c’est le même comportement chez mes hibiscus.
Cette année j’ai eu la chance en Alsace de ne pas voir l’un des mes 4 hibiscus plantés il y a env. 25 ans, couvert de ces pucerons noirs, dont la simple vue me met mal à l’aise…
Et bien que bichonnant beaucoup, depuis toujours mes plantes (mon seul hobby prenant à part la cuisine), je n’ai jamais traité les hibiscus une fois très grands (au savon noir (2 c. à soupe pour 1 l d’eau + une cuillérée à café d’alcool), car c’est très contraignant, l’arbuste étant devenu beaucoup plus grand que moi entretemps.
Mon jardin étant de plus en plus planté de diverses plantes qui se protègent entre elles et vu que je surveille attentivement les plantes plus basses, j’ai de moins en moins d’ insectes nuisibles aux plantes (pucerons, chenilles, anectotiquement des cochenilles).
Cette année, le climat aidant je suis assez épargnée, sauf par ce satané carpocapse sur les petites pommes d’un pommier qui s’est semé tout seul, mon mari n’ayant pas voulu de la bande collante anti-fourmis etc… ni voulu de la protection de carton autour du tronc, en dessous de la bande collante… Les carpocapses en ont profité…
Bon ce n’est pas une grande perte, ces petites pommes me servant juste pour de la compote en fin d’été… La seule consolation, j’ai moins de travail, car il fallait nettoyer ces petites pommes, dont certaines étaient un peu avariées tout de même…
Je précise que je n’ai pas encore la joie d’avoir des petits-enfants : m’en occuper en tant que mamie serait en ce cas prioritaire…
Bonne suite de dimanche à tout le monde.
JE SUIS SORTIE JE SAIS DU CADRE STRICT DES HIBISCUS, mais pas des moyens utiles (assez écolo) contre les insectes nuisibles du jardin…
Doris
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