C’est un peu la tendance des clématites. Classiquement on y plante autre chose à son pied et elles aiment ça. La tête au soleil le pied à l’ombre. De toute façon ce n’est pas le moment de tailler la clématite, attendez au moins l’hiver quand elle n’aura plus de feuille. Elle repoussera mais aura tendance à faire la même chose.
Oui, mais si je comprends bien il y a 12 pousses dans 4 petits gobelets. Cela fait 3 citronniers par gobelet en moyenne. Soit on sacrifie des pousses et on n’en laisse qu’une par gobelet, soit on les sépare. Les racines doivent être bien emmêlées. A mon avis Il est tout de même possible de faire la 2ème solution, mais il ne faut pas que les petits citronniers sèchent. Donc il faut mettre le nouveau pot où il n’y a qu’un citronnier dans un sac en plastique transparent humidifié pendant une semaine à la lumière. Cela s’appelle « à l’étouffée ». Le petit citronnier sera dans une atmosphère extrêmement humide qui l’empêchera de sécher et aura fait en une semaine de nouvelles petites racines et ne séchera plus. Éventuellement ne pas faire cela pour tous les pots à la fois pour voir ce que ça donne.
S’il y a des pépins qui ont produit 2 ou plusieurs pousses, il s’agit de polyembryonie. Une des pousses est un citronnier produit par voie sexuée, les autres sont des clones de l’arbre qui a produit les citrons.
Si on les coupe au pied, ils vont repousser. Je crois que s’ils deviennent envahissant, il faut avec une bêche, enlever une partie de la touffe pour diminuer leur volume. Le morceau de touffe pourra être donné à un ami s’il en veut un dans son jardin.
Les rosiers en pot ont besoin de grands pots. Si la terre est peu profonde, ils sécheront. Autre plante ? Il faut chercher dans des plantes succulentes, des cactus. En gros des plantes de désert.
Non, il n’y a pas de taille de fructification pour l’abricotier. C’est un peu normal, il faut attendre.
Oui, c’est ça, mais ce n’est pas obligatoirement une poire à cuire. Il y a des poires de fin d’été, comme la Guillot ou la William, il y en a d’automne, elles mûrissent en octobre ou novembre et il y en a d’hiver, il faut les cueillir juste avant les gelées et les conserver comme c’est expliqué ici : https://www.jardiner-malin.fr/fiche/conserver-poires.html
Certaines poires, comme la passe-crassane, sont des poires d’hiver et sont très bonnes à manger crues.
Non, mais je crois que vous avez de bon renseignements là : http://mag.plantes-et-jardins.com/conseils-de-jardinage/fiches-conseils/planter-une-clematite
Pour ceux qui ont des racines, il n’y a pas de problème, les mettre dans un bon terreau fertile. Pour les autres, j’ai entendu dire qu’il fallait attendre longtemps avant leur formation. Personnellement j’essaierai ceci mais c’est très personnel : les planter en mettant un peu d’hormone de bouturage, laisser les feuilles (ou au moins une partie) contrairement à ce que beaucoup disent, et les placer à la lumière, mais dans une atmosphère très humide (à l’étouffée) par exemple dans de grand sacs en plastique transparent. Ceci empêche la déshydratation et permet au cycas que continuer à faire de la photosynthèse. L’idéal serait même de faire un apport de CO2 dans le sac. En effet quand on augmente la teneur en CO2 de l’atmosphère d’une plante, on augmente la photosynthèse. Le taux de CO2 dans l’air est de 0,04 %, mais si on l’augmente entre 5 à 8 %, des végétaux comme le haricot arrivent à pousser 3 fois plus vite. Pour cela on peut bien gonfler ses poumons, retenir sa respiration, expirer un tout petit peu, pour évacuer l’air de ce qu’on appelle l’espace mort en médecine (l’air qui ne va pas dans les alvéoles) et souffler le reste de l’air dans le sac. Faire cela de temps en temps. Par cette méthode, je suis arrivé à faire des boutures de poirier qui est un arbre très difficile à bouturer.
Cela prouve qu’il existe une toxicité de l’urine fraiche pour les plantes. Quand elle est diluée, la toxicité devient très faible et comme c’est vrai que l’urine contient des éléments utiles aux plantes, c’est un engrais. Le peu de toxines de l’urine fraiche diluée, sont certainement détruites par les bactéries du sol au bout de quelques temps.
Je pense que le mieux est d’attendre au moins fin octobre, si ce n’est la Ste Catherine.
Tout dépend du plastique dans lequel est fait la cuve. Pour le PVC, il faut des colles à PVC. Si elle est polypropylène ou en polyéthylène c’est très difficile de les coller, C’est encore les colles type araldite et cyanolit qui marche le mieux.
Mais si le plastique n’est pas fendu ou cassé, et que la fuite est au niveau du pas de vis, le mieux est d’enlever le robinet et de mettre au niveau de pas de vis du téflon en rouleau.
Peut-être que quand on la dilue, il y a beaucoup moins de toxines et que c’est moins nocif pour les plantes. C’est certains que dans la terre il doit y avoir des bactéries qui doivent dégrader les toxines. Je comprends aussi que tu n’aies envie de la garder un mois. Tu as raison de l’utiliser sur les fleurs plutôt qu’au potager. En effet ça me rappelle une histoire vraie qui s’est passé il y a longtemps avant ma naissance, mais on me l’a racontée. C’était le frère de ma mère qui arrosait tous les jours des melons plantés dans le jardin avec l’urine d’un pot de chambre. Les melons ne sont pas morts, mais quand on a voulu les manger ils avaient un goût d’urine.
Dans un des sites que tu cites, il y a écrit : « L’urine, recueillie dans un bidon, est stockée pendant un mois avant de servir de fertilisant. Après ce laps de temps, elle est normalement saine ». C’est bien ce que je disais il vaut mieux la faire vieillir (c’est comme pour le vin ).
Ce qui n’est pas dit, est que dans l’urine, il y a une foule de toxines que la médecine n’a même pas identifiées. Dans l’analyse d’un malade pour voir s’il a une insuffisance rénale on dose soit l’urée, soit la créatinine. Ni l’un, ni l’autre de ces 2 déchets ne sont toxiques. L’ammoniac est toxique pour le corps surtout le système nerveux, c’est pourquoi le foie le transforme en urée. On a prouvé que ce n’était pas toxique avec des reins artificiels. Dans une hémodialyse on fait passer le sang du patient en contact avec un liquide. Le sang et le liquide sont séparés par une membrane semi-perméable. Les toxines sont éliminées à travers la membrane. Si l’on met autant d’urée dans le liquide que ce qu’en a le patient dans son sang, l’urée n’est pas éliminée, mais les autres toxines, oui. Hé bien le patient se porte comme un charme. Il en est de même pour la créatinine. Il est je pense préférable de faire vieillir l’urine. Ce sera quelque chose de très important quand on colonisera d’autres planètes comme Mars par exemple. Il faudra faire pousser des légumes et des fruits pour nourrir les nouveaux habitants, l’urine et les selles devront servir d’engrais.
J’ai toujours entendu dire que l’urine fraiche n’était pas bonne pour les plantes. Il faut qu’elle soit décomposée par des bactéries. Je ne connais pas la raison exacte, mais je pense que c’est parce qu’il y a dans l’urine des toxines très puissantes. C’est vrai qu’il y a des sels minéraux, de l’azote qui sont utiles pour les plantes, Mais il est nécessaire, je crois, que les toxines soient décomposées par les bactéries car elles empoisonnent les végétaux. C’est sans doute pour cela que l’on fait des fosses à purin ou que l’on met le fumier en gros tas que l’on garde 18 mois avant de s’en servir. Si on l’éparpille il est décomposé, mais perd son azote, en gros tas non.
C’est vrai que les Gauras poussent toutes seules, même si on ne les arrose pas. ça devient même envahissant.
Il est tout de même normal que les vieilles feuilles jaunissent et tombent à un moment. Si c’est les feuilles vers le tronc c’est le cas. Un végétal à à feuilles persistantes perd ses vieilles feuilles et en met de nouvelles. Lorsque qu’un feuille jaunit l’arbre récupère les éléments fabriqués par photosynthèse et les sel minéraux pour continuer sa croissance. Peut être que le pot est un peu petit et que la chaleur a aidé à ce phénomène. Ce n’est pas une mauvaise idée de le rempoter. Si vous êtes en climat méditerranéen, vous pouvez le mettre en pleine terre.
Toulouse est au sud mais ne fait pas partie de la zone de la culture de l’olivier, ce n’est pas une région méditerranéenne. Ce n’est peut-être pas que le froid, mais l’excès d’humidité qui a abimé cet olivier. L’olivier est l’arbre méditerranéen par excellence. Il faut voir ce qui est vivant et ce qui est mort. Tailler tout ce qui est mort. L’olivier repousse facilement de la base.. La plupart des oliviers ne résistent pas en dessous de – 10° C. Il faut choisir une variété d’olivier qui pousse bien au nord de la zone de l’olivier. L’Aglandau et le Cipressino sont des variétés à privilégier du côté de Toulouse, ils résisteront si l’hiver n’est pas trop humide à – 15°C.
En général le chêne vert pousse au printemps, mais il peut arriver qu’il fasse une poussé de croissance à un autre saison plus rarement. La vitesse de croissance est assez variable, elle est fonction de plusieurs élément : fertilité du sol, arrosage, exposition au soleil…
On n’est pas obligé de faire cela dans une forêt où c’est interdit de le faire, on peut le faire dans une forêt avec l’accord du propriétaire de celle-ci.
Je crois que le mieux est de la couper et de le bouturer en coupant un peu en dessous des feuilles du haut. C’est très facile. Il est probable qu’en coupant vers la base la plante va repartir à ce niveau. Vous aurez plusieurs plantes et pourrez en donner à vos amis.
Bonjour,
Ce n’est pas des questions bizarres. En effet il faut le greffer. Il s’agit probablement d’un merisier qui est un cerisier sauvage et qui devient très grand. On peut essayer au mois d’août de faire quelques greffes en écusson à œil dormant sur des petites branches basses (on est en plein dans l’époque), mais au printemps prochain , il faudra couper les grosse branche et faire des greffes en couronne. Il faut prendre des variété de bigarreau qui sont des cerisiers par trop petits. On peut faire des greffes de plusieurs variétés ce qui aura l’avantage d’avoir des cerises pendant toute la saison.
Oui, mais tout le monde ne va pas faire ça. Prélever un peu d’humus dans les sous-bois est négligeable, l’humus va vite se reconstituer à l’automne et l’hiver prochain après la chute des feuilles. Faire cela c’est gagner du temps par rapport à ramasser des feuilles mortes pour faire du compost. On a la même chose sous un volume plus petit. Si on enlevait vraiment tout le compost d’une forêt, il aurait tendance à se reconstituer, car c’est la dégradation des matières organiques et des feuilles en particulier. Si l’on plante des arbres sur un terrain nu, il se forme du compost au bout des quelques années. Je pense aussi que c’est plus les racines des arbres qui sont anti-ravinement que l’humus lui-même. Si on le fait en terrain plat, il n’y a pas de ravinement.
La terre argileuse est une très bonne terre si on y ajoute de l’humus. Il est très bien d’y incorporer des matières organiques. Par exemple à l’automne on peut y apporter une grande quantité de feuilles mortes que l’on peut mélanger à la terre. Les vers de terres et autres bestioles et les microorganismes vont faire leur travail, C’est plus cher mais on peut acheter des sacs de compost de lombric, de fumier, d’or brun etc… On peut aussi aller des des bois et remplir des sacs de l’humus qui s’est formé en surface avec la décomposition des feuilles mortes. Bien mélanger tout ça avec l’argile. Celle-ci va perdre sa dureté et il va se former des complexes argilo-humiques, qui sont un réservoir de fertilité du sol. L’humus apporte en particulier de l’azote et du potassium et l’argile du phosphore. ( Azote, phosphore et potassium sont les 3 éléments principaux pour les plantes). En acidifiant l’argile l’humus va permettre aux végétaux d’assimiler des éléments de celle-ci qu’ils n’auraient pas pu assimiler.
Oui, essayez et dites nous les futurs résultats.
Démêlez la plus grande partie possible et mettez sous la boîte.
Connexion Inscription |